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Intervenants

Robert Barouki

Robert Barouki est PU-PH, directeur de l’unité Inserm 1124 à l’Université de Paris et chef de service de biochimie métabolomique et protéomique, hôpital Necker-Enfants Malades. Il a consacré ses travaux de recherche récents à l’étude des mécanismes de toxicité des polluants de l’environnement comme la dioxine, les pesticides et les perturbateurs endocriniens et les effets de mélanges de toxiques. Robert Barouki s’intéresse au concept d’exposome et aux approches multidisciplinaires et intégrées dans le domaine environnement/santé et dans le domaine des maladies métaboliques. Il coordonne ou participe à plusieurs programmes européens. Dans une perspective plus générale, il s’intéresse de près à la communication de concepts et de données scientifiques au grand public. Il est le lauréat OPECST-Inserm 2018.

Grégory Lemkine

Grégory Lemkine est associé, président-directeur général et co-fondateur du laboratoire Watchfrog.

L'exposome, une vision intégrée de l’impact de l’environnement sur le bien-être et la santé

Le jeudi 16 déc. 2021 à 18:00
Pour le Développement des Sciences et de l'Innovation, au service des transitions.
  • Type
    Pour le Développement des Sciences et de l'Innovation
  • Lieu
    4 place Saint-Germain des Prés
  • Organisateur La Société d’Encouragement de l’industrie nationale
  • Thème
    Sciences et innovation
  • Entrée
    GRATUIT

Avec l'intervention de :
Robert Barouki, professeur de biochimie, université de Paris, directeur de l’unité Inserm 1124, chef de service de biochimie métabolomique et protéomique, hôpital Necker-Enfants Malades
Gregory Lemkine, associé, président-directeur général et co-fondateur du laboratoire Watchfrog

Modération des échanges :
Patrice Debré, professeur émérite d’immunologie à Sorbonne Université, membre de l’Académie nationale de médecine, président de l’Afas

PWP   de Robert Barouki

PWP de Gregory Lemkine
 

Les polluants de l’environnement ont de nombreux effets présumés sur la santé : maladies respiratoires, métaboliques, cardiovasculaires, neurodégénératives, neurodéveloppement, fertilité, allergies, etc. Leurs effets doivent à présent être intégrés dans un cadre plus large, celui de l’étude de l’exposome qui correspond à l’ensemble des expositions (physiques, chimiques biologiques, psychosociales) tout au long de la vie. Cette nouvelle vision des effets de l’environnement sur la santé devrait avoir des implications pratiques considérables pour la santé publique, la réglementation et la recherche dans ce domaine. Elle peut contribuer à mieux comprendre les effets du changement climatique.

L’environnement ne présente pas que des dangers. Il existe des expositions positives (espaces verts, espaces bleus) et les mesures prises pour limiter les impacts négatifs de certaines expositions peuvent avoir des effets bénéfiques de manière plus globale sur la santé.

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